Conçu pour faire respecter le droit de la France outre-mer, affirmer la souveraineté des territoires, déceler les indices précurseurs d'une crise et amorcer d'emblée les premières réactions, les frégates dites "de surveillance" sont aussi un instrument précieux pour des missions d'ordre humanitaire, diplomatiques ou policières.
Foule des grands jours de sur la base Alfred Faure à l’occasion de l’escale de là Frégate de surveillance le NIVÔSE, en effet 96 marins ont pu visiter nos installations sur une journée. Riche en échanges sur le métier et l’expérience de chacun, cette journée a été appréciée de tous. Parmi les militaires, certains marchaient pour la première fois sur une île australe, et le spectacle des manchots, oiseaux divers et éléphants de mer les a vraiment séduit.
A bord du NIVÔSE, séance de "TAMPONS" du courriers des philatélistes par Maria notre gérante postale, aidée de Nelly, une volontaire scientifique de la base.
15 Crozétiens ont également visité la frégate, certains ont déjeuné à bord, alors que 27 personnels de la Frégate dont le commandant étaient invités à partager notre repas en Vie Commune sur la base.
Événement pour ne nombreux philatélistes à travers le monde, cette escale a été l’occasion pour le Capitaine de frégate Jean-Marc Le Quilliec de participer à une séance de signatures des nombreux courriers en attente à la gérance postale de la base.
Le soir même le Nivôse a quitté les eaux de Crozet pour poursuivre son importante mission de surveillance.
Capitaine de frégate Jean-Marc Le Quilliec et son équipe d'intervention
devant la Résidence avec le Chef de District Patrick HAON.
Petit échange de souvenirs avant le départ
Message du commandant sur le livre d’or de la Résidence.
« Merci de pouvoir nous accueillir à l’occasion d’une trop courte escale devant ces paysages extraordinaires. C’est une chance pour tout l’équipage de pouvoir goûter à ce site préservé au cours d’une mission de surveillance des pêches qui participe à la sauvegarde du patrimoine. Bon Hivernage» Capitaine de frégate Jean-Marc Le Quilliec
Exercice au large de Port Alfred
C'est le troisième bâtiment de ce type. Mis sur cale le 16 janvier 1991, il a été lancé le 11 août de la même année, et est entré en service le 15 octobre 1992.
Le Nivôse a quitté Lorient le 18 octobre 1992 pour rallier Nouméa, son nouveau port d'attache, où il est arrivé le 16 décembre 1992, via Brest, Djibouti, Singapour, Sihanoukville, Haïphong et Hong-Kong. Il a ainsi remplacé l'aviso Commandant Birot dans la zone.
Depuis le 1er janvier 2001, le port base du bâtiment est Port des Galets (île de La Reunion).
Conçu pour faire respecter le droit de la France outre-mer, déceler les indices précurseurs d'une crise et amorcer d'emblée les premières réactions, les frégates dites "de surveillance" sont aussi un instrument précieux pour des missions d'ordre humanitaire, diplomatiques ou policières. Nés d'un concept innovant, ces bâtiments ont été construits selon des normes de construction utilisées pour les navires de commerce.
La frégate Nivôse est parrainée par la ville Nouméa depuis le 8 octobre 1993.
Novembre 2004 : Arraisonnement du Ruey Shyang 11
Le 23 novembre 2004, le patrouilleur des affaires maritimes Osiris détecte un palangrier taiwanais, le Ruey Shyang 11, en pêche illégale à 130 milles au sud est de La Réunion, à l’intérieur de la ZEE française. Le Nivôse, alors au large de La Réunion, envoie son Panther (36F) qui identifie formellement l’une des palangres. L’équipe de visite du Nivôse monte à bord du contrevenant vers 21h30. Devant les éléments de preuves réunies, le pêcheur est dérouté vers La Réunion. Le convoi arrive le 26 novembre au port ouest. (Site MN)
Septembre 2004 - Coup double pour La Rieuse et le Nivôse
Au cours d'une autre mission de surveillance maritime, le Falcon 50 de la 24F déployé à la Réunion localise le 14 septembre une flottille de six palangriers japonais sur lesquels pèse une très forte présomption de pêche illicite dans le nord de la ZEE Tromelin.
Le 15 matin, une opération coordonnée Nivôse/Rieuse/Falcon 50 permet de les relocaliser à l'aube et de conduire un contrôle à la mer. Le Nivôse se charge du Koryu Maru 38 et La Rieuse du Chokyu Maru 38 qui a été observé en action de pêche au cours de la nuit. Dans les deux cas, les investigations ont confirmé que ces navires avaient mouillé des palangres dans la ZEE française de Tromelin. Ces palangres relevées par les contrevenants ont permis de confirmer l'infraction de pêche illicite (bâtiment étranger pêchant sans licence valable en ZEE française). Un peu moins de 150 tonnes de thon congelé ont été trouvées dans les cales des deux navires.
L'appréhension des navires, du produit de leur pêche et de leur matériel ainsi que leur déroutement vers Port des Galets ont ensuite été signifiés aux capitaines des deux navires fautifs. Des équipes de prise mixte Rieuse/Nivôse mises en place sur les palangriers ont assuré leur surveillance pendant leur transit sous la bonne garde du Nivôse. Pendant que les équipes de visite opéraient sur les contrevenants, le Falcon 50 investiguant la zone prit en flagrant délit un troisième navire japonais du même type en train de mouiller ou remonter une palangre. Un PV d'infraction a également été dressé, mais ce contrevenant n'a pu être rattrapé avant sa sortie de la zone, les bâtiments de surface étant déjà accaparés par leurs prises. Les deux contrevenants ont accosté à Port des Galets le 17 au matin.
Toutes les missions du NIVOSE sur netmarine.net
Le Nivôse a quitté Lorient le 18 octobre 1992 pour rallier Nouméa, son nouveau port d'attache, où il est arrivé le 16 décembre 1992, via Brest, Djibouti, Singapour, Sihanoukville, Haïphong et Hong-Kong. Il a ainsi remplacé l'aviso Commandant Birot dans la zone.
Depuis le 1er janvier 2001, le port base du bâtiment est Port des Galets (île de La Reunion).
Conçu pour faire respecter le droit de la France outre-mer, déceler les indices précurseurs d'une crise et amorcer d'emblée les premières réactions, les frégates dites "de surveillance" sont aussi un instrument précieux pour des missions d'ordre humanitaire, diplomatiques ou policières. Nés d'un concept innovant, ces bâtiments ont été construits selon des normes de construction utilisées pour les navires de commerce.
La frégate Nivôse est parrainée par la ville Nouméa depuis le 8 octobre 1993.
Novembre 2004 : Arraisonnement du Ruey Shyang 11
Le 23 novembre 2004, le patrouilleur des affaires maritimes Osiris détecte un palangrier taiwanais, le Ruey Shyang 11, en pêche illégale à 130 milles au sud est de La Réunion, à l’intérieur de la ZEE française. Le Nivôse, alors au large de La Réunion, envoie son Panther (36F) qui identifie formellement l’une des palangres. L’équipe de visite du Nivôse monte à bord du contrevenant vers 21h30. Devant les éléments de preuves réunies, le pêcheur est dérouté vers La Réunion. Le convoi arrive le 26 novembre au port ouest. (Site MN)
Septembre 2004 - Coup double pour La Rieuse et le Nivôse
Au cours d'une autre mission de surveillance maritime, le Falcon 50 de la 24F déployé à la Réunion localise le 14 septembre une flottille de six palangriers japonais sur lesquels pèse une très forte présomption de pêche illicite dans le nord de la ZEE Tromelin.
Le 15 matin, une opération coordonnée Nivôse/Rieuse/Falcon 50 permet de les relocaliser à l'aube et de conduire un contrôle à la mer. Le Nivôse se charge du Koryu Maru 38 et La Rieuse du Chokyu Maru 38 qui a été observé en action de pêche au cours de la nuit. Dans les deux cas, les investigations ont confirmé que ces navires avaient mouillé des palangres dans la ZEE française de Tromelin. Ces palangres relevées par les contrevenants ont permis de confirmer l'infraction de pêche illicite (bâtiment étranger pêchant sans licence valable en ZEE française). Un peu moins de 150 tonnes de thon congelé ont été trouvées dans les cales des deux navires.
L'appréhension des navires, du produit de leur pêche et de leur matériel ainsi que leur déroutement vers Port des Galets ont ensuite été signifiés aux capitaines des deux navires fautifs. Des équipes de prise mixte Rieuse/Nivôse mises en place sur les palangriers ont assuré leur surveillance pendant leur transit sous la bonne garde du Nivôse. Pendant que les équipes de visite opéraient sur les contrevenants, le Falcon 50 investiguant la zone prit en flagrant délit un troisième navire japonais du même type en train de mouiller ou remonter une palangre. Un PV d'infraction a également été dressé, mais ce contrevenant n'a pu être rattrapé avant sa sortie de la zone, les bâtiments de surface étant déjà accaparés par leurs prises. Les deux contrevenants ont accosté à Port des Galets le 17 au matin.
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